Concilier vie étudiante et petits boulot

Publié le par Alex

Concilier vie étudiante et petits boulot

Pour une bonne majorité d’étudiants, avoir un emploi en parallèle est nécessaire pour financer en partie leurs études ou assurer le quotidien (loyer, nourriture…) lorsqu’ils déménagent loin de la famille et gagner ainsi leur indépendance. En 2011, l’Observatoire de la vie étudiante (OVE) estimait à 68 % le nombre d’étudiants en France exerçant une activité rémunérée non liée aux études, au minimum trois mois par an.

Pour autant, il faut suivre certaines règles pour mener les deux activités de front avec succès. Une excellente organisation est la clé, pour pouvoir travailler pendant son temps libre sans empiéter sur le travail personnel indispensable. C’est certainement pour cette raison que les jobs les plus courants sont les petits services aux particuliers (baby-sitting, professeur à domicile) et la restauration rapide, l’emploi du temps pouvant être plus facilement aménagé.

Conscients de cette réalité, la plupart des universités accordent un statut particulier aux étudiants « salariés » ou « dispensés ». Chaque établissement applique alors sa propre politique en ouvrant la « dispense d’assiduité » à certains cours obligatoires, ou alors en proposant un système d’évaluation mieux adapté, par exemple un examen final au lieu du contrôle continu. Pour être éligibles, les étudiants doivent présenter un contrat de travail en bonne et due forme. Ensuite, un minimum horaire peut être exigé ou non.

Attention, certains cours ne sont pas inclus dans la dispense, notamment les travaux dirigés (TD) ou travaux pratiques (TP). Toute absence injustifiée expose à un zéro. Aussi, les écoles proposent des aménagements afin d’éviter de pénaliser les étudiants « salariés », il est souvent indispensable d’approcher les enseignants pour trouver un compromis satisfaisant.

De l’autre côté, les employeurs ne sont pas toujours enclins à la flexibilité, contraignant les étudiants à faire un choix entre la réussie de leurs études et leurs finances. Car le cumul emploi-études peut être lourd de conséquences sur les probabilités de réussite à l’examen de fin d’année. En 2009, une publication de la revue Économie et Statistique de l’Insee rendait les conclusions d’une étude réalisée sur la période 1992-2002, et qui affirmait qu’un emploi régulier réduisait significativement les chances de réussite et la poursuite des études.

Pour décrocher un poste, les pistes sont nombreuses. Se faire recommander par quelqu’un de l’entourage est la méthode la plus rapide. Mais il est également possible de passer par les agences spécialisées ou les sites de petites annonces en ligne, qui mettent en relation employeurs et postulants.

Pour une bonne majorité d’étudiants, avoir un emploi en parallèle est nécessaire pour financer en partie leurs études ou assurer le quotidien (loyer, nourriture…) lorsqu’ils déménagent loin de la famille et gagner ainsi leur indépendance. En 2011, l’Observatoire de la vie étudiante (OVE) estimait à 68 % le nombre d’étudiants en France exerçant une activité rémunérée non liée aux études, au minimum trois mois par an.

Pour autant, il faut suivre certaines règles pour mener les deux activités de front avec succès. Une excellente organisation est la clé, pour pouvoir travailler pendant son temps libre sans empiéter sur le travail personnel indispensable. C’est certainement pour cette raison que les jobs les plus courants sont les petits services aux particuliers (baby-sitting, professeur à domicile) et la restauration rapide, l’emploi du temps pouvant être plus facilement aménagé

Conscients de cette réalité, la plupart des universités accordent un statut particulier aux étudiants « salariés » ou « dispensés ». Chaque établissement applique alors sa propre politique en ouvrant la « dispense d’assiduité » à certains cours obligatoires, ou alors en proposant un système d’évaluation mieux adapté, par exemple un examen final au lieu du contrôle continu. Pour être éligibles, les étudiants doivent présenter un contrat de travail en bonne et due forme. Ensuite, un minimum horaire peut être exigé ou non

Attention, certains cours ne sont pas inclus dans la dispense, notamment les travaux dirigés (TD) ou travaux pratiques (TP). Toute absence injustifiée expose à un zéro. Aussi, les écoles proposent des aménagements afin d’éviter de pénaliser les étudiants « salariés », il est souvent indispensable d’approcher les enseignants pour trouver un compromis satisfaisant

De l’autre côté, les employeurs ne sont pas toujours enclins à la flexibilité, contraignant les étudiants à faire un choix entre la réussie de leurs études et leurs finances. Car le cumul emploi-études peut être lourd de conséquences sur les probabilités de réussite à l’examen de fin d’année. En 2009, une publication de la revue Économie et Statistique de l’Insee rendait les conclusions d’une étude réalisée sur la période 1992-2002, et qui affirmait qu’un emploi régulier réduisait significativement les chances de réussite et la poursuite des études

Pour décrocher un poste, les pistes sont nombreuses. Se faire recommander par quelqu’un de l’entourage est la méthode la plus rapide. Mais il est également possible de passer par les agences spécialisées ou les sites de petites annonces en ligne, qui mettent en relation employeurs et postulants.

Publié dans En pratique

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